Damien 85 – Après L’Opération (1)

A mon arrivée à Roissy, même chose qu’au départ, je suis prise en charge par le personnel de la compagnie aérienne qui m’accompagne en fauteuil roulant jusqu’à ce que Pierre me récupère.
Cela fait maintenant 17h que je n’ai pas fait de dilatation, l’aéroport me met une pièce à disposition afin que j’en fasse une aussitôt.
Pierre est complètement effaré quand il me voit relever ma robe, baisser ma culotte et m’emparer d’un dilatateur.
Il me demande "Que fais-tu ?
- Tu vois mon chéri, si je ne veux pas que mes chairs se ressoudent, je suis obligée de faire ça plusieurs fois par jours.
- Ça ne te fait pas mal ?
- Non, ce n’est pas très agréable car je suis en plus bourré de produit qui m’empêche de ressentir du plaisir, sinon ce serait intenable. En plus ces dilatations, oui c’est comme ça que ça s’appelle, me permettent d’agrandir mon vagin afin que quand tout sera rentré dans l’ordre, je puisse te recevoir en entier.
- Tu en as pour longtemps ?
- Non une quinzaine de minutes.
- Ce n’est pas ça, combien de temps devras-tu faire ça ? Pas tout le temps ?
- Non mais il va te falloir être patient, car cela va durer 3 mois.
- Wouah !
- Eh oui mon pauvre, je suis désolée pour toi mais pour l’instant tu devras te contenter de ma bouche car même mon cul est indisponible.
- Pourquoi ?
- Parce que les mouvements liés à une enculade pourraient faire que les cicatrices se rompent et dans ce cas il faudrait tout recommencer et cela sans risque de succès.
- Ma pauvre, tu ne regrette pas ? Parce que moi ton cul me suffisait
- Pas du tout au contraire, j’ai enfin ce que je voulais t’offrir, un vagin, je suis enfin une vraie femme. Non je ne regrette rien même si je suis passée par des moments pas marrants, maintenant il faut avoir de la patience et bientôt tout cela ne sera plus qu’un lointain souvenir. Tu dis que mon cul te suffisait, déjà depuis que j’ai des seins, tu n’arrêtes pas de les tripoter et quand tu auras deux trous à ta disposition, ne me dis pas que tu ne seras pas content.


- Bien sur que si mais je me dis que tu as du souffrir.
- Oui mais ça en vaut le coup. Bon d’accord ma chatte n’est pas belle à voir mais cela ne fait même pas trois semaines que j’ai été opérée, tu verras quand tout sera décongestionné j’aurais un joli minou à t’offrir avec un hymen. As-tu déjà baisé une vierge ?
- Non.
- Et bien avec moi tu vas avoir l’occasion de me dépuceler.
Ça ne te plait pas.
- Oh si.
- Bon embrasse-moi et laisse-moi terminer, car c’est important".
Pierre m'attira contre lui et ses lèvres s'écrasèrent sur les miennes, j'ouvris la bouche, la langue inquisitrice de mon mec vint caresser la mienne, je fermai les yeux et m'abandonnai totalement à ce baiser fougueux.
Quand mon amant délaissa ma bouche j'avais le souffle court et le rouge aux joues, mon homme me sourit puis il me dit "je te laisse.
- Merci pour ce baiser mon amour, j’en avais tellement envie depuis tout ce temps.
- Moi aussi".
Je posai ma main sur sa braguette et vis qu’il était en érection.
"Oh là là mon pauvre chéri, mais tu es tout dur.
- Eh oui, n’oublie pas que cela fait presque trois semaines que je n’ai pas baisé.
- Je le sais.
- Alors dès qu’on va rentrer à la maison, tu as intérêt à faire travailler ta langue et ta bouche.
- Ne t’inquiètes pas, je vais m’occuper de ton gros gourdin.
- Tu vas voir tu vas boire des litres de foutre ma salope.
- Miamm ! Tu sais moi aussi j’ai très envie de sucer ta magnifique bite et de la sentir me gicler dans la bouche.
- Tu vas être servie.
- Je l’espère".
Je terminai ma dilatation, me rhabillai, je me rassis sur le fauteuil roulant que Pierre avait loué et nous partîmes jusqu’à la voiture.
Pendant le trajet, Pierre me questionna sur mon opération, sur ce que j’avais vécu en Thaïlande et sur ce que je ressentais en ayant changée de sexe.
"Tu ne ressens aucun manque de ne plus avoir de pénis ni de testicules.

- Au début oui, j’avais l’impression d’avoir un grand vide entre les jambes mais je me suis habituée.
- Pourtant tu as passée plusieurs années avec cet appareil génital.
- Oui mais tu sais pour ce que il m’a servi, cela fait quand même un certain temps que ce pénis ne me servait qu’à pisser. Non vraiment ça n’a aucune importance et en plus ces trucs ne faisaient que me gêner, je ne pouvais pas me mettre en maillot à cause de ça, en plus je me sentais femme et je n’avais qu’à offrir que mon cul. Même pour toi tu ne pouvais pas me mettre la main entre les cuisses, non vraiment rien ne fait que je puisse avoir le moindre regret ni le moindre manque.
- Au moins tu as le mérite d’être claire.
- Oui, ces trucs ne me m’appartenaient pas, j’adore le sexe masculin mais pas le mien, le tien oui je l’adore. En plus tu ne peux pas savoir avec quel bonheur, j’attends me moment où je vais pouvoir t’offrir ma chatte, le moment où je vais sentir ta verge déchirer mon hymen et me prendre vraiment comme une femme, j’en rêve de ce jour béni".
Pierre posa sa main sur mon genou et le pressa tendrement.
Nous arrivâmes enfin à la maison, Pierre me fit asseoir dans le salon, il était aux petits soins.
Il m’apporta à boire et m’observa avec amour pendant que je buvais mon jus de fruit.
Quand j’eus terminé, je levai les yeux sur mon homme et lui dis "Viens approche toi de moi, je vais soulager la tension qu’il y a en toi".
Pierre s’approcha de moi, j’ôtai bouton de son pantalon, je pris le zip de sa fermeture éclair entre mes dents et le fis descendre.
Je me trouvai devant un slip tendu et avec une tâche humide annonciatrice.
Je projetai mon souffle chaud contre le tissu tendu et je vis le sexe remuer, je pris le slip par l'élastique de la taille et le fis descendre le long des cuisses musclées de mon amant.
Aussitôt libéré de sa prison de textile le membre victorieux pointa vers le plafond, il était encore plus beau que dans mes souvenirs et je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri tout en me léchant les lèvres.

Pierre me demanda "Que se passe-t-il pourquoi as tu crié.
- Ce n'était qu'un cri d'envie, ta bite est encore plus belle que dans mon souvenir.
- Elle te plaît ?
- Oh oui, elle est superbe, grosse et longue.
- Alors occupe-toi en.
- A tes ordres amour".
Je caressai les bourses duveteuses de mon amant et portai un coup de langue sur le gland turgescent.
Cette caresse fit dresser le sexe encore plus, j'ouvris tout grand la bouche et engloutis l'objet de ma dévotion.
Je continuai à flatter les testicules poilus d'une main tandis que de l'autre je caressai le monstrueux membre qui sous mes cajoleries n'en finissait pas de s'allonger et de grossir.
Pendant quelque temps je pratiquai sur mon homme de légers attouchements.
Mon mec avait toujours les mains sur les hanches et me laissait faire mais sa respiration s'était accélérée.
Je portai un coup de langue sur le bout durci recueillant au passage la liqueur qui suintait de l'orifice de la hampe dressée.
Trouvant que les prémisses avaient assez durés Pierre posa une de ses mains sur ma tête et appuya dessus, je compris qu'il voulait que je commence à le sucer.
J'ouvris tout grand la bouche et enfournai la fabuleuse tête de la pine, mon amant soupira et tendit son ventre vers moi.
Petit à petit j'embouchai l'énorme priape jusqu'à ce qu'il bute contre le fond de ma gorge.
Je gardai quelques instants le pieu de chair frémissant immobile dans ma bouche puis entourant ma langue autour de la colonne de chair érigée, le mordillai et entamai une lente fellation sur toute la longueur de la bite turgescente.
Mon homme semblait apprécier le traitement que je lui appliquai, il poussait de lourds soupirs de contentement chaque fois que j'engloutissais son phallus raide.
Sa virilité était tellement démesurée que je devais garder la bouche grande ouverte, deux filets de salive coulaient à la commissure de mes lèvres.
Longtemps je pompais lentement mon mec enduisant son splendide pénis de salive tout en caressant ses couilles qui commençaient à devenir dures comme de la pierre.

Mon homme posa une de ses main sur ma tête et imposa le rythme auquel il voulait être sucé tout en me disant "C'est très bien ma salope, j’avais oublié que tu as une vraie bouche à pipe, tu es ma superbe suceuse, continue ma petite pute, suce bien mon sucre d'orge".
Pendant de longues minutes j'appliquai une savante fellation à mon amant qui commençait à pousser de petits gémissements de plaisir quand soudain il bloqua mon visage entre ses mains et se mit à me piner la bouche en de grands coups de reins.
Je comprimai mes lèvres contre le splendide membre tout en le mordillant de en enroulant ma langue autour.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je sentis la queue palpiter en moi, il me sembla que le gland doublait de volume, mon homme plaqua ma figure contre son pubis et éjacula en feulant.
Je reçus une formidable giclée de semence qui fusa contre mes amygdales et je l'avalai avec délice.
Je continuai de longs instants à cajoler la verge qui continuait de se vider dans ma gorge.
Quand le calme fut revenu mon mec me lâcha et je me reculai, le fabuleux sexe avait à peine débandé, il était encore très gros.
Après avoir cajolé quelque temps le pénis, je m'écartai de mon homme.
Mon mec me dit "Tu suces vraiment comme une déesse ma salope, tu as vraiment une bouche à pipe.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie de m'avoir aussi bien pompé.
- Si tu es content alors moi aussi, mais c’est vrai que tu étais en manque, tu m’as envoyé une sacrée giclée.
- J’avais tout gardé ça pour toi.
- Merci, mais il me semble que tu n’es pas rassasié.
- Non il va falloir que ta charmante bouche travaille encore beaucoup ce soir avant que je sois vidé.
- Slurp !
- Tu es vraiment une salope, mais je t’adore ma petite salope.
- Et moi aussi je t’adore mon amour, j’adore ta fabuleuse bite.
- Bon on va dîner et après on remettra ça.
- Avec joie, mais avant d’aller au lit, il faut que je fasse encore une dilatation.
- Fais ma choutte, vivement que ce soit moi qui te dilate.
- Oh oui, je rêve du jour où tu vas prendre ma virginité, où tu vas me bourrer la chatte.
- Et ton cul je n’y aurais plus droit.
- Oh si, j’adore la sodomie et ce n’est pas parce que j’ai une chatte que je ne vais plus me faire enculer.
- AH AH AH !".
Pierre remonta son slip et rajusta son pantalon puis me dit "Bon je vais nous faire à dîner".
Je profitai de son absence pour faire ma dilatation, j’avais en bouche le goût divin du sperme de mon amant, il y avait longtemps que je n’avais pas savouré cette semence épaisse et cela me fit chaud au cœur.
Mon homme revint une quinzaine de minutes après, je venais de finir ma dilatation, il portait deux assiettes sur lesquelles il y avait des tranches de saumon avec une salade.
Mon mec déposa les assiettes sur la table basse du salon et retourna dans la cuisine, il revint avec une bouteille de vin blanc de Moselle et deux verres.
Il me sourit, s’assit à mes côtés et me prit pas les épaules.
Je tournai la tête vers lui et m’approchai de lui.
Les lèvres de Pierre posèrent délicatement sur les miennes.
Puis me serrant tout contre lui mon amant écrasa ma bouche, nos dents s'entre choquèrent.
Je fermai les yeux, ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné qui me laissa pantelante.
Mon amant me lâcha et s’écarta de moi, il dit "Allez dînons maintenant".
Après avoir mangé de bon appétit tout en parlant de choses et d’autre, mon homme débarrassa la table, je me levai et lui dis "Chéri, je vais dans la salle de bains.
- Ok amour, à tout de suite".
Je fis mes ablutions et appliquait délicatement les soins nécessaire à mon vagin, puis je me vétis d’une nuisette en satin et rentrai dans la chambre.
Mon mec me dit "Qu’est-ce que tu es belle comme ça.
- Merci chéri.
- Bon à moi la salle de bains".
Je lui répondis "Non j’ai envie de sentir l’odeur de la journée de l’homme que j’aime.
- Mais je ne suis pas propre, j’ai certes pris ma douche ce matin mais bon depuis…
- Je m’en fiche, je te veux comme ça.
- Comme tu veux".
Je m’approchai de Pierre et entrepris de déboutonner sa chemise puis je lui ôtai.
Je défis le bouton de son pantalon et fis descendre le fermeture éclair de sa braguette.
Le pantalon tomba aux chevilles de mon amant, il l’envoya au loin d’un coup de pied.
Je poussai mon homme sur le lit où il tomba sur le dos.
Je retirai les chaussettes de mon mec, puis je pris le slip par la ceinture et le fis descendre le long des cuisses musclées de Pierre et le jetai au loin.
Mon amant était maintenant nu comme un ver et j’admirai ce corps que j’adorai.
Le fabuleux puissant phallus de mon homme était en demi-érection et je regardai, tout en me passant la langue sur les lèvres, ses lourds testicules poilus que je savais gorgés de sève.
Je dis "Mets-toi bien sur le lit, que je puisse m’occuper avec joie de ta superbe pine.
- Non avec tes mains et ta jolie bouche de salope".
Mon mec s’allongea sur le dos et ouvrit ses cuisses, je montai sur le lit et vint positionner ma t^te au niveau de son entre jambe.
Comme je me penchais vers son sexe à demi-turgescent, je sentis une odeur de sperme datant de ma pipe d’avant dîner.
Cette odeur m’enivra et je me mis à porter de rapides coups de langue sur le gland poisseux de foutre.
Mes effleurements buccaux eurent pour effet de faire se dresser le lourd pénis de Pierre.
Je continuai à le butiner jusqu’à ce que l’énorme priape retrouve ses formidables mensurations.
Je me reculai pour admirer cette épaisse colonne de chair tuméfiée tout en me léchant les lévres et en savourant le gout salé de la liqueur de mon amant.
Celui-ci soupirait d’aise, les yeux clos.
Je soufflai sur cette merveilleuse queue érigée qui tressautait
J'enfournai l'objet de ma dévotion et me mis à monter et descendre dessus tout en le mordillant et en enroulant ma langue autour.
Mon homme posa sa main sur ma nuque pour rythmer la cadence à laquelle il voulait que je le suce.
Sous les effets de ma fellation lente, la bite grandit encore.
Je me mis à pomper le phallus plus vigoureusement.
Chaque fois que j'embouchai totalement le membre turgescent mon mec poussait des petits cris de bonheur en disant "Ouii ahh c'est bon, ohh tu suces bien, ta bouche est bonne, continue, ahh suce, suce, suce, c'est bon".
Plusieurs fois, sentant l'explosion proche j'arrêtai ma fellation laissant la calme revenir puis recommençant de nouveau à sucer cette superbe queue.
Soudain Pierre posa ses mains sur ma nuque et bloquant ma tête il se mit à donner des coups de reins.
Le résultat ne se fit pas fait attendre, je sentis le pénis de mon mâle tressauter sur ma langue et il me sembla que le gland doublait de volume.
Mon amant plaqua ma figure contre son pubis et éjacula en feulant, un épais flot de sperme crémeux, que j'avalai avec délice, gicla contre mes amygdales.
Mon homme relâcha la pression de ses mains sur ma nuque mais je restai collé à lui, cajolant de ma langue le phallus qui continuait à déverser dans ma gorge sa semence, jusqu'à ce que le calme soit revenu.
Quand enfin j’abandonnai l’objet de ma dévotion, je relevai mon visage et rampai sur mon mec en lui souriant.
Il me prit par la nuque et écrasa ses lèvres sur les miennes, nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé qui me laissa palpitante.
Quand Pierre délaissa ma bouche, il me sourit et me dit "Ma chérie, que ta bouche et ta langue sont exquises, une suceuse comme toi il n’y en a pas deux.
- Merci mais tu sais chéri, sucer une bite comme la tienne est un vrai plaisir et qu’est ce que ton sperme est bon, on dirait de la crème.
- Peut-être, mais je t’assure que tu es l’impératrice des pompeuses.
- Merci mon amour.
- Merci à toi de m’avoir donné autant de plaisir".
Nous prîmes un verre et Pierre me demanda de la sucer encore une fois puis nous nous endormîmes comblés, lui d’avoir joui et moi ravie d’avoir reçu une grosse dose de liqueur séminale.

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